Recevoir un nouvel album,
un rituel toujours enivrant. Le nouveau “Prostitute disfigurement“ ne fera pas
exception. Premier constat à la réception, le gros collant avec le nom du
groupe qui cache volontairement l’image de la pochette ainsi que le fameux avis
parental… la censure avant la censure. Je l’ouvre, apprécie l’odeur de neuf qui
se dégage de l’emballage et sors sans attendre le livret qui l’accompagne.
Après avoir étudié les détails sordides du dessin de la jaquette, je tourne la
page et découvre l’expression des lubies les plus folles qui sont passées par
la tête de ses concepteurs, les paroles. Le système de son étant maintenant
réchauffé, je n’attends plus, j’insère le disque, je m’installe confortablement
et je mets tous mes sens aux aguets.
Bon Délire.
Yan.
Bon Délire.
Yan.