Obscura, pas si obscure.

Après une semaine difficile, je retourne à la maison. L’énergie me manque et j’ai la tête remplie d’un vide monumental. C’est avec les idées embrouillées que je me dirige à la boite aux lettres. Rapidement, un sourire se dessine sur mon visage à la vue d’un colis que je n’attendais plus. Sous les flocons, je me précipite vers la maison afin d’ouvrir cette boite chargée de joie auditive. “Obscura“ est un le premier opus de cette nouvelle année déjà bien entamée. Une symphonie "métal" cernée d’une nostalgie des plus agréable. Une douce agressivité qui me berce et calme mes frayeurs, mes craintes, mes angoisses. La force et la tristesse se côtoient, la folie et la passion se marient et les éléments discordants ne font plus qu’une cérémonie d’accords et de mélodies que l’ont ne peut qu’apprécier. Un Album qui commence l’année en beauté et ce n’est pas terminé, ce colis en contenait trois. À suivre… peut-être bien.

Yan.

Bon Délire.