Je regardai ce film. Peu importe ce qu'il est,
je réalisai. Chaque histoire relate de difficiles moments, chaque production
apporte ses pertes. Le personnage auquel tu d'identifies, auquel tu
t'éprends, celui qui, sans diriger l'histoire, mène l'émotion. Ce moment où il
rend l'âme, où une larme coule sur ta joue et c'est maintenant que je prends
conscience. Je respire et réalise que cette larme n'est pas dirigée face à la
perte mais plutôt confrontée à la peur. Cette continuelle peur de souffrir la
fin. Peur de rendre mon dernier souffle et de réaliser que ce souffle me
meurtrira éternellement. Le néant est-il, ou la fin n'est qu'un début de
l'interminable souffrance. Lorsque je rendrai mon dernier souffle, pleurerez
vous de la douleur de me perdre ou simplement de la peur que le prochain
pourrait être vous. La vie c'est un film, on ne sais pas quand il se termine
mais je connais la fin.
Yan.
Bon Délire.
Bon Délire.
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