Un jour me levant, sans l'aide de mon cadran. Ayant rendu l'âme, c'est un matin où la notion de temps s'absente. De ses chiffres illuminés, ils ont commencé à clignoter. De son temps donné, il cesse d'annoncer. C'est la mort de mon cadran qui est affichée à l'écran, c'est la fin du temps, mon fidèle me laissant en plan. Malgré tout, je me suis réveillé, c'est à la hâte que je quitte travailler. Le soir venu, la réalité illumine mon visage de façon saccadée. Je tire sur le fil, la lumière s'éteint maintenant. Ce soir me couchant, j'ai perdu l'heure de mon brillant cadran et la noirceur régnant, je m'endors le temps absent.
Yan.