Je ne suis qu'un va nu pied parmi les autres. Je sais maintenant que je ne ferai jamais partie de ces grands. J'ai peut être la richesse des pauvres, mais je rumine le malheur grand. J'ai souvent le désir des autres, et me rappel ma richesse de pauvre. Ce que je n'aurai jamais est à vos yeux peu important, et j'en oublie le vrai, qui lui s'éloigne lentement. Aujourd'hui ce que je ressens, tout en reluquant, c'est un grand trou béant. Maintenant, vous êtes absents et je réalise que j'étais grand et riche. Dès lors je me retrouve seul et je ne serai qu'un va nu pied parmi les grands.
Yan.