lundi 22 décembre 2014

La rétro 2014, ce qui m’a fait plaisir.


Fin d’année, j’ai fort pensé, et c’est maintenant le temps d’une rétrospective. Cette année fut forte en émotions, remplie de moments bons et moins bons. Le Délire marquant 2014 est sans aucun doute “Héros“. Un autre moment percutant, fut bien sur ma défaillance visuelle et la perception de “Mon monde“ qui est désormais changé. Pendant ces moments troublants, une touche de nostalgie avec ce souvenir de mon adolescence, “Musique nostalgique“… et oui je chantais. Comment pourrais-je passer sous silence la nouvelle décennie dans laquelle je suis entré avec “Une nouvelle ère“. J’ai aussi eu mes moments cinglants, “Si J’aurais“ est un de ceux là. Tellement d’écriture, mais comment résumer, “24 secondes“ sait comment faire. Finalement je termine cette rétrospective avec un texte qui me représente bien, “Les mots de ma terreur“. Une année se termine, une autre commencera et je continuerai à vous bombarder des mes folies, déconfitures et autres textes déjantés. Merci à tous ceux et celles qui me suivent et les autres. Je vous souhaite à tous de passer de bonnes fêtes, profitez-en et surtout soyez prudents. Pour ce qui est de mes Délires, je vous reviens en force en 2015.
Yan.

dimanche 14 décembre 2014

Pillules !

Une super boite de pilules qui a très peu servi, il manque seulement 2 comprimés.  Environ 400 kilomètres au compteur, elle a l’air neuve. L’emballage original contient les instructions qui sont bien évidemment en français et en anglais (au cas ou l’un de vous aurait envie de lire ces dites instructions ce que je recommande). J’ai fait cette achat très récemment en prenant soins de prendre ce que je considère comme étant le modèle de luxe. Version “Extra Fort“ dans la boite d’un vert printemps très apaisant. Raison de la vente, ça goute pas bon et ça “marche“ pas (ce que je veux dire par là c’est que ça fonctionne pas sur moi).
Yan.

Bon Délire.

dimanche 7 décembre 2014

Le syndrome de la lumière.


Il fut un temps où les arrêts surveillaient quelques coins de rue. Ce temps changeant, les arrêts connurent une croissance fulgurante. Les coins de rue étaient envahis par ces octogones rouges. Ayant pour but de ralentir les gens dans leur désir constant d’arriver rapidement, ces panneaux coloraient joliment. Aujourd’hui, n’étant plus suffisant pour contrôler ce flot constant, ils ont décidé de nous allumer. La réflexion d’un dirigeant plus faible que ce feu circulant, fut d’instaurer ces belles couleurs dans le but savant de nous immobiliser. Le vert trop court, plus le temps de passer. Le rouge trop long, être constamment arrêté. Que dire du jaune qui vous fait accélérer et vous met en danger. Trop de lumière, source monétaire, des autorités policières. Trop de couleurs, me figeant d’un coin de rue l’autre, qui à une époque si proche, me faisait avancer d’un simple arrêt coloré.
Yan.